L'aide aux victimes

12/07/2018 - mise à jour : 21/08/2018

Associations, CIVI, JUDEVI, SARVI, sans oublier les traditionnels acteurs que sont les avocats et les huissiers, le dispositif d'aide aux victimes d'infractions pénales s'est considérablement développé ces dernières années. Que peut-on attendre de chacun de ces acteurs ? Comment peut-on les joindre ?

 

Qui fait quoi ?

Les associations d'aide aux victimes ont pour mission de venir en aide aux victimes d'infractions pénales en les accueillant, les orientant, en recherchant avec elles la solution la plus adéquate. Leur intervention est gratuite pour la victime. Elles assurent des permanences dans les tribunaux ou sur des sites extérieurs.

Des centres téléphoniques assurent également  une écoute et une orientation pour certaines victimes plus ciblées, telles que les enfants, les personnes victimes de discrimination ou de violences conjugales.

Dans un autre registre, des services d'accueil des victimes ont été créés dans les services d'urgence de certains établissements hospitaliers.

Le ministère de la justice et des libertés a mis en place différents dispositifs pour mieux prendre en compte les victimes lorsqu'une procédure est en cours (JUDEVI) ou pour faciliter leur indemnisation (CIVI, SARVI)

Les avocats peuvent bien-sûr conseiller les victimes, agir en justice en leur nom, les assister devant les tribunaux. Les huissiers peuvent intervenir pour faire exécuter les condamnations prononcées en faveur des victimes.

 

Contacter les associations d'aide aux victimes

Pour les ressorts de Caen, Cherbourg, Coutances, Argentan et Alençon :

ACJM

 

Pour le ressort de Lisieux :

CIDFF du Calvados